« C’est en 2002 avec Les Ramoneurs cérébraux de Patrick Bouchard que j’ai connu le travail d’Olivier Calvert. Œuvrant en cinéma d'animation depuis déjà plusieurs années, je fus enchantée par le travail d’évocation sonore que son montage ajoutait au sombre récit. Je ne cesse depuis de suivre son travail, que ce soit en animation, documentaire ou fiction. Olivier fait partie de ces artisans qui perpétuent le travail sonore bien fait, la trame cousue main que bien des cinéastes étrangers nous envient. »
Élène Dallaire, Séquences, mars-avril 2011.
Lisez l’entrevue complète en pdf.