« À l’instar du roman, ce qui séduit par-dessus tout dans le film, c’est la minutie avec laquelle sont dépeintes la dépendance au jeu, la restauration, la vie nocturne, la solitude des grandes villes. À cet égard, il faut saluer la direction artistique de Mathieu Lemay, qui a créé des décors avec un soin maniaque, la conception sonore d’Olivier Calvert, qui nous plonge par endroits dans une atmosphère de film d’horreur, la photo de Steve Asselin, qui sait si bien sculpter les ombres, et le montage d’Isabelle Malenfant, qui colle parfaitement au tumulte ambiant. »
