« Il y a, clairement, dans ce film, un avant, un pendant et un après. Un parcours. Quelque chose d’universel que la cinéaste aborde sans idées préconçues, s’appuyant sur un travail graphique exceptionnel et sur une trame sonore obsédante (dans laquelle Olivier Calvert intègre, en procédant par une sorte de tissage, les musiques de Nicolas Bernier et de Francis Dhomont). »
